vendredi 31 juillet 2015

Créer un blog professionnel : pourquoi se lancer ?

Créer un blog professionnel : pourquoi se lancer ?

Créer un blog professionnel : pourquoi se lancer ?
Se lancer dans la création d’un blog est une véritable aventure : cela demande beaucoup de temps et de réflexion mais les bénéfices sont nombreux et il serait dommage de passer à côté.
En France, le blog d’entreprise n’est pas encore une pratique très étendue bien qu’elle essaye de se développer. Et c’est bien dommage car le blog peut-être un véritable outil de communication pour votre entreprise.
De plus, si dans notre pays la pratique n’est pas encore très aboutie mais tend à se développer, il suffit de se tourner vers les USA qui ont adopté le blog à grande échelle, environ 77% des professionnels du marketing B2B l’utilise pour leur stratégie de contenu (source)
Le blog n’est donc pas une simple tendance, c’est un véritable outil de communication qui permet de booster son entreprise si celui-ci est bien utilisé.

Pourquoi créer un blog d’entreprise ?

  • Pour apporter une vraie valeur ajoutée sur vos produits et vos services 
Qui mieux que vous pour parler de ce que vous fabriquez ou de ce que vous vendez ? Vous connaissez parfaitement vos produits, vous pouvez en parler en usant de tests, de comparatifs, de mise en avant de caractéristiques uniques, organiser des concours, donner la parole à des experts, publier des interviews, etc. C’est le meilleur moyen pour faire connaître vos produits et vos services auprès de vos clients.
  • Pour prouver son expertise dans un domaine particulier
Vous êtes expert dans votre domaine, vous savez de quoi vous parler et ce que vous vendez. N’hésitez plus à mettre en avant cette expertise sous la forme d’articles de blog pour asseoir votre réputation.
  • Pour mettre en place un nouvel outil de communication interactif
Le blog a l’avantage de permettre une communication avec ses internautes par le biais des commentaires. C’est un bon moyen de discuter de façon moins formelle et d’établir le contact avec vos clients. Attention tout de même à filtrer les commentaires car nombreux sont ceux qui n’existent uniquement que pour créer des liens vers leur site.
  • Pour humaniser l’image de son entreprise
Une entreprise c’est une entité avec de nombreux employés, des dirigeants qui paraissent souvent bien éloignés du public. Le blog permet un discours moins formel, une approche facilité avec votre cible et de vous présenter sous un autre jour.
  • Pour faire connaître son activité au jour le jour 
Vous avez régulièrement des messages à faire passer ? Des nouveaux produits ou des nouveaux services ? Profitez donc du blog pour communiquer !
  • Pour obtenir une base de contacts qualifiée
Le trafic sur votre blog est important ? Pourquoi ne pas lancer une newsletter pour récupérer des contacts intéressés par vos articles et qui constitueront un fichier de prospects potentiels de très bonne qualité ?

Est-ce long de créer un blog ?

Concrètement créer un blog ce n’est pas long MAIS entretenir et l’alimenter pour le faire connaître et gagner en visibilité est une toute autre histoire.
Cela demande du temps, de l’implication et des idées, il est donc parfois nécessaire d’avoir une équipe ou une personne dédiée selon la taille de l’entreprise et le rythme de publication.
Attention tout de même à ne pas vous faire d’illusions : la simple création d’un blog ne signifie pas que le succès va arriver tout seul.  Pour que le blog prenne de l’importance il lui faudra du temps et des articles intéressants qui plaisent aux internautes et spécialement aux cibles que vous visez. C’est un travail de fond qui demande une véritable réflexion éditoriale.

Comment créer un blog attractif et intéressant pour les internautes ?

  • Prendre soin du design et de l’ergonomie du blog 
Un blog ce n’est pas comme un site corporate, c’est moins figé, plus interactif et moins formel. La forme est régulièrement semblable d’un blog à l’autre : une liste des derniers articles puis la navigation par catégorie. C’est une formule qui marche et que l’on peut tout à fait adapter pour correspondre à votre charte graphique et à votre site actuel. Le principal étant de garder une cohésion visuelle entre votre site web et votre blog et d’avoir une mise en page facilitant la lecture et l’échange de commentaires.
  • Le contenu du blog, l’élément majeur de sa réussite 
Comme évoqué plus haut dans l’article, le contenu sera le synonyme ou non de la réussite de votre blog. AU lancement du blog, établissez une ligne éditoriale puis prenez un moment tous les mois pour vous poser ou vous réunir avec votre équipe pour proposer des idées d’articles en rapport avec votre actualité ou avec les tendances actuelles.
Pas besoin de publier des articles à la chaîne, un ou deux bons articles par mois seront tout à fait satisfaisants, à l’exception du lancement du blog où vous pouvez prévoir un rythme un peu plus élevé le temps de trouver du public. La meilleure solution est de rédiger quelques articles d’avance pour ne pas vous laisser sans article lors d’une période de rush.
Pensez également à faire des partenariats éditoriaux, un bon moyen pour ajouter régulièrement du contenu !
  • La valorisation du blog
Une fois votre blog lancé, votre contenu en cours d’écriture, il faut également penser à le faire connaître le temps que le succès arrive. Pour cela n’hésitez pas à utiliser les réseaux sociaux lors de la publication d’un nouvel article, trouver des partenaires.
source :  http://blog.digitalcube.net/referencement-seo/creer-un-blog-professionnel-pourquoi-se-lancer/
Et maintenant il n’y a plus qu’une seule chose à faire : vous lancer dans l’aventure !

jeudi 30 juillet 2015

PME : Les aides à la création d’entreprise

BNP PARIBAS : PME : Les aides à la création d’entreprise

Envoyer par mail
0
29/07/2015 | 16:50
L'aide à la création d'entreprise ne date pas d'aujourd'hui ! Par exemple, l'ACCRE (Aide aux Chômeurs Créateurs ou Repreneurs d'Entreprises) a été créée en 1979. Souvent modifiée au fil des années, cette aide existe toujours. Mais si les dispositifs d'aide sont anciens, ils sont aussi nombreux et variés, tant par leurs bénéficiaires que par leur fonctionnement, et accordés par différents organismes.
Les aides de l'ÉtatElles sont liées à un objectif précis : influencer la répartition géographique des entreprises, stimuler l'innovation, accompagner la réinsertion professionnelle des chômeurs, inciter un public particulier (les jeunes, les femmes…) à créer leur activité.
On peut notamment citer :
  • La prime d'aménagement du territoire, accordée par la Délégation Interministérielle à l'aménagement du territoire et à l'attractivité régionale (DATAR), elle est soumise à l'implantation de l'activité dans certaines zones géographiques précises ;
  • Les aides de Bpifrance sont destinées à financer les études préalables ou les projets d'innovation de la future entreprise.
À noter : le Prêt à la Création d'Entreprise (PCE), a été supprimé au 1er avril 2015.


L'aide apportée à une entreprise en création peut aussi prendre la forme d'un allègement fiscal. Un avantage non négligeable, et réellement incitatif, décliné en différents dispositifs :
Les aides des collectivités territoriales et les aides régionalesLes régions et collectivités territoriales ont toujours un budget dédié, chaque année, à l'accompagnement des entrepreneurs. Chaque entité décide librement des montants accordés, des critères d'attributions, et même de la forme de l'aide qui peut être une subvention, un prêt à taux nul ou du moins très avantageux…
Ces aides, comme les aides nationales, sont répertoriées par le site officiel Aides Entreprises. Pour trouver celles qui vous concerne, indiquez votre localisation dans la page de recherche.


Les autres pistes à explorerLes entrepreneurs pensent spontanément aux aides de l'État ou des Chambres de Commerce et d'Industrie (CCI). Il ne faut pourtant pas oublier que d'autres organismes peuvent vous aider dans vos démarches ou votre financement.
Des organismes comme France Active (une association organisée en réseau, dans toute la France) ou Bpifrance (une filiale de la Caisse des Dépôts) ont pour vocation l'aide aux entreprises. Toutes deux peuvent vous aider par exemple en apportant une garantie bancaire à votre demande de crédit.
Pôle Emploi peut vous aider via différents dispositifs, si vous êtes au chômage, en soutenant votre financement en cas de création ou de reprise d'entreprise, ou encore en vous offrant une formation spécifique.
Enfin, il ne faut pas négliger les aides matérielles, comme par exemple l'hébergement accordé dans une pépinière d'entreprise, qui crée un véritable contexte favorable à la réussite !
En conclusion : sonnez à toutes les portes, sollicitez tous les organismes, afin de ne passer à côté d'aucune aide potentielle !

source : http://www.zonebourse.com/BNP-PARIBAS-4618/actualite/BNP-PARIBAS-PME-Les-aides-a-la-creation-d-rsquo-entreprise-20769028/
distributed by

Envoyer par mail
0

mercredi 29 juillet 2015

Quelle fiscalité pour un auto-entrepreneur ?

Quelle fiscalité pour un auto-entrepreneur ?

Boursorama avec Pratique.fr le 
2

Les auto-entrepreneurs disposent d'un statut qui leur est propre, avec ses avantages, mais aussi avec ses règles. Le plafonnement du chiffre d'affaires en fait partie.

La fiscalité de l'auto-entrepreneur
La fiscalité de l'auto-entrepreneur

Auto-entrepreneurs : deux statuts

En réalité, il y a deux statuts auxquels ont droit les auto-entrepreneurs, mais l'un des deux, à savoir le régime micro-social, est appliqué d'emblée à la création de l'entreprise. Si l'auto-entrepreneur souhaite choisir l'alternative (le versement libératoire), il doit le faire savoir. 
Le régime le plus courant est ainsi le régime micro-social. Il est calculé à partir du chiffre d'affaires que l'entreprise réalise. Mais ce chiffre est plafonné, et ne doit pas dépasser :
  • - 82 200 euros (HT) pour une activité d'achat et de revente, de consommation sur place ou d'hébergement. Les prélèvements sociaux sont alors de 13,4% pour 2016 ;
  • - 32 900 euros (HT) pour les professions libérales, ainsi que les prestations de service. Leurs prélèvements sociaux sont de 23,1% pour 2016.

Attention à ne pas faire l'erreur de confondre chiffre d'affaires et bénéfices : des témoignages rapportent que d'autres personnes ont subi une radiation automatique après avoir fait l'amalgame. Si vous dépassez effectivement le plafond, vous serez automatiquement basculé au statut d'entrepreneur individuel. 
L'autre statut est celui du prélèvement libératoire (on parle plus rarement de « régime micro-fiscal »). Lui aussi est calculé sur le chiffre d'affaires. La différence est que l'auto-entrepreneur peut régler, en un seul versement, son impôt sur le revenu (IR) et ses charges sociales. Pour opter pour ce statut, il faut déposer une demande auprès du régime social des indépendants (RSI). 
Enfin, la déclaration doit être faite en ligne : c'est obligatoire pour les auto-entrepreneurs dont le chiffre d'affaires dépasse 50% du plafond.

Que choisir ?

Si l'option du prélèvement libératoire est facultative, elle est également inaccessible à certaines entreprises. Pour savoir si vous y avez droit, il faut rapporter le revenu fiscal de référence à votre quotient familial. Vous obtenez un taux qui ne doit pas dépasser un seuil fixé. 
En dehors de cela, le seul moyen de savoir quelle version est la plus avantageuse est de réaliser un comparatif. Cela est d'autant plus vrai que les plafonds et autres seuils sont mis à jour chaque année.

Trucs et astuces

Si vous avez subi une radiation du statut d'auto-entrepreneur, vous pouvez de nouveau y prétendre, à condition d'être enregistré au titre d'une autre activité… à moins que vous ne préféreriez conserver le statut d'entrepreneur !

source : http://www.boursorama.com/actualites/quelle-fiscalite-pour-un-auto-entrepreneur-915d03560fd7fbeee6d443c827c6d582

Un mineur émancipé peut-il créer une société ?

La création d’entreprise par un mineur émancipé

Mis à jour le 22/07/2015

Un mineur émancipé peut créer son entreprise, devenir associé et même la diriger. Cette démarche peut être conditionnée par la réglementation en vigueur dans le secteur d’activité visé ou nécessiter l’autorisation du juge des tutelles, dans le cas où il souhaite devenir commerçant, notamment. L-Expert-comptable définit la notion juridique de mineur émancipé puis détaille la création d’entreprise par un mineur émancipé, selon le secteur d’activité, son statut au sein de l’entreprise et la forme juridique qu’il vise.

Définition juridique du mineur émancipé : l'article 413-1 du Code civil

Le mineur est émancipé lorsqu’il cesse légalement d’être sous l’autorité de ses parents. Il peut agir comme un adulte et réaliser les mêmes actes de la vie courante que lui. Il en est pleinement responsable. Attention, dans certains domaines, comme la création d’entreprise par exemple, il ne peut pas réaliser tous les actes légaux que pourrait faire un majeur.
Notez que l'émancipation d'un mineur émane d'une décision du juge des tutelles sur demande du ou des représentant(s) légal(aux), à partir de l'âge de 16 ans

Un mineur émancipé peut-il créer une entreprise individuelle (EI) ?

Un mineur émancipé peut créer une entreprise individuelle (EI), quel que soit son régime d’imposition. Attention, la réglementation de certains secteurs oblige à avoir un âge minimum ou à détenir un diplôme spécifique pour avoir le droit de créer une entreprise. C’est notamment le cas de certaines professions libérales réglementées comme le métier d’avocat, d’expert-comptable

Un mineur émancipé peut-il devenir commerçant ? 

Un mineur émancipé qui souhaite devenir commerçant doit, pour créer son entreprise, obtenir l’autorisation :
  • du juge des tutelles si la demande est faite lors de la décision d’émancipation,
  • du président du tribunal de grande instance si la demande est faite a posteriori.

Un mineur émancipé peut-il devenir auto-entrepreneur ?

L’auto-entreprise est, par définition, une entreprise individuelle (EI). Un mineur émancipé pourra donc créer son auto-entreprise, sous réserve de l’accord du juge ou du président du tribunal s’il veut exercer l’activité de commerçant ou sous réserve d’avoir l’âge minimum ou le diplôme requis en cas de réglementation sectorielle spécifique.

Un mineur émancipé peut-il créer une société ?

Un mineur émancipé peut devenir membre fondateur d’une société, quelle que soit sa forme juridique : 
Il peut donc investir dans le capital social d’une société, détenir des titres financiers et percevoir des dividendes.
Il peut également en être le représentant légal ; soit le dirigeant de la société. Il peut réaliser tout acte de gestion et toute transaction financière au nom et pour le compte de la société qu’il représente. S’il commet une faute de gestion, il sera tenu pour responsable, comme n’importe quel dirigeant âgé de 18 ans ou plus.
En bref, il peut réaliser tous les actes dédiés à la création et à la gestion d’une société et prendre toutes les décisions qu’un dirigeant majeur serait amené à prendre.
Attention, le mineur émancipé devra obtenir l'autorisation du juge des tutelles ou du président du tribunal de grande instance (selon le moment où il formule sa demande) pour pouvoir devenir membre fondateur ou représentant légal d'une société en nom collectif (SNC)

Donnez une note à cet article : 
5
Average: 5 (1 vote)
Your rating: Aucun(e)




source : http://www.l-expert-comptable.com/creation-d-entreprise/la-creation-d-entreprise-par-un-mineur-emancipe.html

Créer une entreprise avant la fin du contrat de travail : quelles conséquences ?

Vous êtes salarié et vous voulez lancer votre activité avant la fin de votre contrat de travail ? Découvrez les conséquences de ce choix sur votre future entreprise.
Quand on a une bonne idée d’entreprise et que l’étude de marché montre l’existence d’une opportunité à saisir, on peut avoir la tentation d’accélérer la création de son entreprise. Quitte à se lancer avant la rupture du contrat de travail.
Cela peut être un bon choix car, dans ce cas, le créateur d’entreprise conserve une certaine sécurité financière. Mais il ne faut pas non plus minimiser les conséquences qu’une telle décision peut avoir sur le lancement de l’activité (surtout lorsque vous effectuez votre préavis avant votre départ).
shutterstock_220743103.jpg

Vis-à-vis de votre employeur : vous ne pouvez pas tout faire

Si vous êtes encore salarié, vous ne pouvez pas forcément lancer le business qui vous plaît. Il y a en effet quelques règles à respecter !
Votre activité est concurrente de celle de votre employeur
Aïe… Il faut patienter jusqu’à la fin de votre contrat de travail.
D’abord, il peut y avoir une clause de non-concurrence dans votre contrat de travail.  Dans ce cas, il est nécessaire de respecter les termes de votre engagement si vous ne voulez pas risquer des poursuites et être contraint de cesser votre activité. Il ne faut pas oublier que vous avez bénéficié d’une compensation financière en contrepartie de cette obligation….
Mais  ce n’est pas tout : même s’il n’y a pas de clause spécifique dans votre contrat de travail, vous êtes lié par une obligation de loyauté vis-à-vis de votre employeur. Concrètement, tant que votre contrat est en cours, cela signifie que vous ne pouvez pas exercer une activité concurrente. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter ce dossier : Salarié du privé et entrepreneur : l’obligation de loyauté
Votre activité n’est pas concurrente à celle de votre employeur
Regardez votre contrat de travail : est-ce qu’il y a une clause d’exclusivité ? Si oui, vous ne pouvez pas créer votre entreprise car vous n’avez pas le droit d’exercer une autre activité (peu importe la nature de l’activité, et peu importe aussi qu’elle soit ou non concurrente).

Les conséquences sur les aides que vous pourriez demander

L’ACCRE
Si vous pensez pouvoir bénéficier de l’ACCRE (exonération ou allègement de cotisations sociales), soyez très vigilant.
En effet, il y a deux éléments à prendre en compte :
  • vous ne pouvez pas être éligible à l’ACCRE tant que la rupture de votre contrat de travail n’est pas effective
  • vous ne disposez que d’un délai de 45 jours pour envoyer votre demande (point de départ du délai : la date qui se trouve sur l’accusé de réception de la déclaration de votre entreprise)
L’ARCE (Aide à la reprise ou à la création d’entreprise)
L’ARCE vous permet de percevoir 45% du montant des allocations chômage restant dues en deux versements  à 6 mois d’intervalle.
Mais si vous voulez pouvoir en bénéficier, il faut avoir obtenu l’ACCRE. Or, comme indiqué précédemment, il y a des conditions de délai à respecter pour pouvoir être éligible à cette aide.
Attention donc à ne pas lancer votre entreprise trop vite, vous pourriez passer à côté de dispositifs très intéressants...
Les allocations chômage
Pour percevoir vos allocations chômage, il vous faudra prouver à Pôle Emploi que vous n’avez pas perçu de rémunération lors de la création de votre entreprise suite à votre inscription sur la liste des demandeurs d’emploi (n’oubliez pas de signaler que vous avez une entreprise).
Il est d’ailleurs préférable de vérifier vos droits à indemnisation auprès de Pôle Emploi avant de lancer votre activité. Vous éviterez ainsi de mauvaises surprises…
Et vous, qu’en pensez-vous ? Avez-vous créé votre entreprise avant la fin de votre contrat de travail ?
Crédit photo : Shutterstock.com
Mettre en favoris et partagerEntreprise»Abonnement

source : http://www.gautier-girard.com/dossiers-entrepreneurs-et-managers/creation-dentreprise/creer-une-entreprise-avant-la-fin-du-contrat-de-travail-quelles-consequences/

mercredi 22 juillet 2015

Paris devient-elle une nouvelle Silicon Valley ?

Paris devient-elle une nouvelle Silicon Valley ?

Paris est citée en exemple pour sa qualité d'accueil des entreprises innovantes. 1 500 start-up grandissent actuellement dans la capitale dans des incubateurs, où tout est organisé pour les mettre sur la voie du succès.

(France 2)
Paris, nouvelle capitale des start-up. Elles apparaissent par centaines dans des appartements privés, des open-space géants ou de simples coins de table. Il suffit d'un ordinateur ou d'une connexion internet pour créer son site. Alors dans la capitale, de plus en plus d'entrepreneurs se lancent dans l'aventure.
Des idées dans tous les sens, qui se développent à Paris grâce à des lieux comme les incubateurs. Les start-up y sont chouchoutées avec des bureaux tout confort et des conseils gratuits.

Des nouveaux incubateurs apparaissent chaque mois

Meryl Benitah a lancé "La boîte qui cartonne", un site qui propose de placer les vieilles affaires dans des grandes boîtes et de les stocker en lieu sûr pour six euros par mois. Elle est installée depuis trois semaines dans des locaux qu'elle partage avec 24 autres start-up. Elle bénéficie dans cet incubateur de conseils de spécialistes dans la création d'entreprises, et d'une aide pour attirer les investisseurs. "Le but est de faire notre première levée de fonds", assure au micro de France 2 la jeune femme.
Pour toutes ces aides, Meryl Benitah n'a pas eu à débourser un seul centime. Loyer, abonnement internet, soutien technique, tout est gratuit. Tout ce que demandent les propriétaires d'incubateurs en échange de ses services est de devenir propriétaire d'un petit pourcentage de leur entreprise. De nouveaux incubateurs apparaissent chaque mois. Il y en a actuellement 40 qui hébergent 1 500 start-up.

source : http://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/paris-devient-elle-une-nouvelle-silicon-valley_1006043.html