mercredi 30 avril 2014

Portraits d'auto-entrepreneurs

Portraits d'auto-entrepreneurs

Par LEXPRESS.fr, publié le 

Pour ces entrepreneurs nouvelle génération, le statut de l'auto-entrepreneur a été un déclic. Salariés, étudiants ou retraités, voici leurs portraits. 

Portraits d'auto-entrepreneurs
Pour ces entrepreneurs nouvelle génération, le statut de l'auto-entrepreneur a été un déclic. Salariés, étudiants ou retraités, voici leurs portraits.
afp.com/Jeff Pachoud
Delphine Sauvage est une salariée de 36 ans. Elle est responsable d'agence dans une société de services à la personne. Le 6 mars, elle a créé Instants Années, une petite entreprise de photographie. Son activité principale consiste à faire des reportages photos d'événements familiaux ou sportifs ainsi que pour des mairies. Avec des études en audiovisuel où elle a appris la photo et la vidéo, on peut dire que ce domaine d'activité lui tendait les bras. Depuis longtemps, la jeune femme souhaitait fonder sa propre société. Le statut d'auto-entrepreneur lui a permis de franchir le pas car il lui permet de cumuler ses deux emplois. "Ca a été le déclic lorsque beaucoup de monde en a parlé", confie-t-elle.  
Attention cependant. Delphine estime qu'il faut être très organisé si l'on souhaite devenir auto-entrepreneur. "Dans mon secteur, je peux m'en sortir car c'est un créneau qui ne fonctionne que le week-end, de mai à octobre. Avec deux emplois, il faut donc apprendre à gérer la fatigue", selon Delphine. A l'heure actuelle, l'auto-entrepreneuse a dégagé 750 euros de bénéfices, mais ceux-ci ont servi à couvrir l'achat du matériel nécessaire à son activité. C'est à travers son site Internet référencé, le bouche-à-oreille et les annonces chez les commerçants qu'elle tâche de se faire connaître.  
En tout cas, sa petite entreprise lui apporte beaucoup de satisfaction. "Je m'épanouis pleinement grâce à ma société. C'est comme un bébé pour moi. Tout ce qui est positif sera le résultat de mes efforts, et c'est moi qui serai responsable du négatif. Comme il s'agit de ma propre société, je m'y investis à fond.
Delphine aussi apprécie la simplicité du statut d'auto-entrepreneur, mais elle y voit également un danger pour les gens insuffisamment préparés. En effet, la démarche à effectuer est tellement simple que les gens envisagent peut-être mal ce que signifie "créer son entreprise", ainsi que les responsabilités qui vont avec. Les gens peuvent même s'inscrire en tant qu'auto-entrepreneur, mais ne pas aller plus loin dans la démarche. C'est pourquoi elle considère que le statut est trop facile d'accès et qu'il faudrait éventuellement prévoir quelques restrictions.  
En ce qui concerne la rencontre à l'Elysée organisée par Nicolas Sarkozy, Delphine a su tirer son épingle du jeu. Armée de ses cartes de visite, elle n'a pas hésité à parler aux inconnus pour trouver des clients potentiels. Jeu du hasard ou récompense pour son enthousiasme, l'auto-entrepreneuse a réussi à convaincre deux prospects. Les contrats pourraient bien être conclus prochainement. "Il faut savoir créer la rencontre ! " selon Delphine.  
Durant son discours, Nicolas Sarkozy a abordé le ressentiment des artisans vis-à-vis du statut de l'auto-entrepreneur, qui selon eux permettrait la mise en place d'une concurrence déloyale. Delphine ne se sent pas concernée par cette critique. "Je ne me considère pas comme une photographe professionnelle. Je fais de belles photos, mais j'ai des compétences différentes, et surtout, je ne travaille pas sur le même créneau que les photographes professionnels, qui eux se consacrent davantage au travail en studio et au figé. Ce n'est pas mon domaine. J'accepte des contrats qui ne les intéresseraient pas. 
"J'ai pu diversifier mes activités" 
Pour ces entrepreneurs nouvelle génération rencontrés lors de leur invitation à l'Elysée par Nicolas Sarkozy, ce nouveau statut a été un déclic. 150 000 personnes ont déjà adopté le statut d'auto-entrepreneur. Salariés, étudiants ou retraités, voici leurs portraits. 
Jean-Philippe Bauer est salarié d'une grande société de télécommunication, responsable de projet développement Web. Avec l'arrivée du statut d'auto-entrepreneur, il a voulu diversifier ses activités en créant un site de vente en ligne de produits d'optique.  
L'optique, c'est un domaine qui intéresse Jean-Philippe Bauer. Pourquoi ne pas en faire une activité parallèle ? "Je voulais me lancer sans risque. Sans ce statut, j'aurai dû y réfléchir à deux fois".  
Pendant près de six mois, il travaille le jour dans son entreprise et la nuit sur son projet. Le 16 mars, son site est lancé. L'objectif, vendre des produits d'optique en ligne. "J'ai les fournisseurs mais pour l'instant, je vends surtout des lunettes de soleil et des appareils de météorologie" explique-t-il. 
Pour la vente de lunettes de vue, il faut attendre de trouver des partenariats avec des opticiens ou des ophtalmologues. "C'est plus compliqué car il faut connaître la correction oculaire des gens". Mais Jean-Philippe Bauer ne compte pas s'arrêter là !  
En septembre 2009, il envisage d'étendre ses activités à la vente de service en ligne, en s'inspirant de sa propre expérience. "Je veux proposer un kit pour ouvrir sa boutique en ligne" précise-t-il. "Une fois qu'on a le statut d'auto-entrepreneur, autant en profiter. Ce n'est pas plus complexe et si je veux m'arrêter, je peux ! " note-t-il. 
"Je n'aurai jamais pu supporter la paperasse" 
Evelyn Luverdis est une retraitée du secteur de la publicité et de la communication. Agée de 62 ans, elle dirige Luverdis, une société fondée entre janvier et février. Son activité consiste à rédiger des discours, des notes de synthèse et des revues de presse pour des chefs d'entreprise, notamment dans les domaines politique et économique.  
Evelyn est claire et net : si le statut d'auto-entrepreneur n'existait pas, elle n'aurait pas fondé sa société en France. "Je déteste les tâches administratives. Je n'aurais jamais pu supporter la paperasse." Elle apprécie particulièrement la simplicité du système et le fait que "l'on ne paye que quand on gagne de l'argent. " L'auto-entrepreneuse n'a relevé aucun inconvénient dans ce système, puisqu'il est d'une ""simplicité parfaite" selon elle. Evelyn n'a pas encore déclaré de revenus à l'administration, mais cela fait déjà deux mois que sa société génère des bénéfices. En tout, son entreprise a dégagé un chiffre d'affaires d'environ 10 000 euros sur les deux derniers mois.  
Le rendez-vous organisé à l'Elysée lui a permis de rencontrer 3 ou 4 personnes avec lesquelles elle pourra éventuellement nouer des partenariats.  
"Chaque euro gagné me permet de cotiser un semestre" 
Le statut d'auto-entrepreneur : une transition progressive entre les études et la vie professionnelle. Romain Bohdanowicz et Nicolas Engel ont fini leur études il y a quelques mois. L'un était en école d'ingénieur, l'autre est issu d'une école de commerce. Tous les deux se sont lancés dans la création de sites Internet. Romain prépare le lancement de BaseClip, un portail d'informations qui utilise les technologies du web sémantique, en septembre 2009. Nicolas, lui, travaille sur deux sites, voituresaufeminin.com et voituresapetitprix.com, en collaboration avec son ancien maître de stage de l'entreprise Malis.  
Romain a découvert l'auto-entreprenariat au salon des auto-entrepreneurs. Lorsque ce statut s'est ouvert aux professions libérales, il a saisi l'opportunité. "Je me suis inscrit en tant qu'ingénieur, formateur et consultant en informatique. Cela me permettait de travailler, en parallèle de la préparation de mon site Internet" explique-t-il. Par hasard, un premier client l'a contacté.  
Puis grâce au bouche-à-oreille, Romain a reçu des commandes. "Pour l'instant, j'ai facturé 700 euros. Je suis content mais ce n'est pas ma priorité. Il m'arrive même de refuser des clients pour pouvoir me consacrer à Baseclip" sourit-il. 
Un autre avantage que Romain a découvert concernant ce statut, c'est le fait de cotiser pour la retraite. "Si je n'étais pas devenu auto-entrepreneur, je serais resté sous le statut étudiant pendant quelques mois. Là, grâce à mon activité parallèle et à ce statut, chaque euro gagné me permet de cotiser un semestre ! C'est donc un bon plan pour ceux qui font de longues études". Romain est donc ravi de ce statut. "Je suis dans le bain de la création d'entreprise, je gagne de l'argent et je cotise. Que rêver de mieux !".  
Le statut d'auto-entrepreneur a permis à Nicolas de devenir collaborateur de deux sites Internet. Ce statut lui a donné une certaine liberté. Etre auto-entrepreneur était une des conditions à sa participation à ces projets. Nicolas n'y voit que des avantages et notamment le fait d'être assez libre de ses engagements. "Ce statut est une première étape dans ma vie professionnelle et en n'étant pas directement intégré dans la société Malis, je pourrai facilement mettre fin à cette collaboration pour me lancer seul lorsque je le souhaiterai.".  
Les seules difficultés rencontrées par Nicolas sont surtout celles liées à la création d'une première entreprise. "On se retrouve parfois seul sans avoir de réponses à ses questions".  
"Je peux mener mes deux activités en parallèle" 
Grâce au statut d'auto-entrepreneur, Anne-Marie et Judith Limaont pu transformer leur passion en véritable entreprise familiale. Elles sont devenues des créatrices de bijoux reconnues. Ces deux soeurs vendent depuis six ans leurs créations sur les marchés d'art mais avec l'arrivée du statut, elles ont voulu aller plus loin.  
"Tout le monde nous encourageait à nous faire connaître. Nous avons d'abord attendu d'avoir quelques retours sur ce statut puis nous l'avons adopté afin de lancer notre site internet de vente en ligne" explique Judith.  
Le 22 mars est véritablement né Shelka Création. Anne-Marie a d'abord franchi le pas en devenant auto-entrepreneur. "Je vends aussi des tableaux et ce statut me permettait de mener mes deux activités en parallèle" note-t-elle. Judith compte bien la suivre. "Nous créons ensemble mais nous voulons être plus ou moins indépendantes l'une de l'autre pour pouvoir faire d'autres activités à côté" continue Judith.  
Le lancement du site est un travail de longue haleine mais le discours de Nicolas Sarkozy les a motivées. "C'est très encourageant de voir qu'on est soutenues" concluent-elles.  
"Tout est allé très vite" 
Grégory Desmaziers est un salarié de 23 ans. Il travaille dans une société de prestation de services. Il a fondé son entreprise en tant qu'auto-entrepreneur début février. Son activité consiste à développer des applications pour iPhone et d'autres téléphones mobiles. Fin avril, Grégory est parvenu à gagner 4 000 euros, et vise un chiffre d'affaires total de 16 000 euros à l'issue des deux premiers trimestres. "Le statut d'auto-entrepreneur est le plus simple à mettre en place pour moi. Avant son apparition, j'avais déjà choisi de fonder ma société en freelance et de passer par une boîte de partage, mais ce statut a été une aubaine.
Pour Grégory, tout est allé très vite. Après avoir fait une demande par Internet, il a reçu les documents administratifs environ 2 ou 3 semaines après, et il remplit ses déclarations et paiements de charges exclusivement sur Internet. "En plus, vu que je pratique une activité de service, les charges ne s'élèvent qu'à 23 % de mon chiffre d'affaires" rappelle Grégory Desmaziers. Et même si son affaire fonctionne bien, il estime qu'il ne dépassera pas le seuil des 32 000 euros annuels pour une activité de service puisqu'il exerce une activité salariale à côté de son entreprise. Pour lui, les auto-entrepreneurs ne font pas de concurrence déloyale aux autres professionnels.  
"Dans mon secteur d'activité, il n'y a pas d'artisans, mais beaucoup de gens en freelance. De toute manière, le client se rendra compte si l'auto-entrepreneur auquel il fait appel n'a pas les compétences nécessaires." Grégory Desmaziers n'exclut pas cependant qu'il faille apporter des modifications à ce statut afin de le rendre plus contraignant. "Si l'on vérifie les compétences de chacun, cela apportera davantage de crédibilité à ceux qui ont choisi ce statut", estime-t-il.  
"Continuer à remplir le frigo et à nourrir la famille" 
Surmonter la crise grâce au statut d'auto-entrepreneur : tel était l'objectif d'Hervé Drubigny. Promoteur immobilier spécialiste de la bio-construction et des énergies renouvelables, il a vu son carnet de commandes se vider à cause de la crise. 
Il a alors créé un service de vente de produits en tous genres grâce à ce nouveau statut. "J'avais plusieurs programmes de construction en cours, les fournisseurs répondaient à l'appel mais les banques ne voulaient pas suivre. Mes projets étaient donc au point mort ".  
Dès lors, Hervé Drubigny a décidé de devenir auto-entrepreneur. "Il fallait bien continuer à remplir le frigo et à nourrir ma famille !". Grâce à son réseau de connaissances et au bouche-à-oreille, sa nouvelle activité fonctionne bien mais pour Hervé, il était surtout important que son activité soit reconnue par la loi. "Quand on gagne de l'argent, il faut pouvoir le justifier. Ce statut le permet ".  
Malgré tout, Hervé espère bien pouvoir reprendre son travail au plus vite. "C'est une activité temporaire. Ma passion, c'est l'environnement et l'immobilier" commente-t-il. A l'image d'Hervé, le statut d'auto-entrepreneur permet à des gens dans une situation difficile de s'en sortir et de combler les problèmes financiers tout en continuant de travailler.  
 

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Etre patron de son entreprise : les clés

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source : http://lentreprise.lexpress.fr/creation-entreprise/etapes-creation/trouver-de-l-argent-pour-creer-son-entreprise_1531991.html

La création d'entreprises par les femmes

La création d'entreprises par les femmes

Auteur(s) : APCE
APCE OBSERVATOIRE
Date d'édition : 04/2014
Type d'ouvrage : Synthèse(s)
Pages : 7
32 % des créations d'entreprises sont le fait de femmes, soit un nombre estimé de 190 000 nouvelles entreprises annuelles. Quel est le profil de ces créatrices ? Quel est le profil de leur entreprise ? Comment ont-elles mis en place leur projet ? Quelle ambition ont-elles pour leur entreprise ? Telles sont les questions que ce document de synthèse aborde. Il présente les principaux enseignements de l'analyse réalisée par l'APCE sur ce sujet et intitulée "Les créatrices d'entreprise".

source : http://www.apce.com/cid146731/la-creation-d-entreprises-par-les-femmes.html