mercredi 30 octobre 2013

Les conseils du fondateur d’Attractive World aux jeunes qui souhaitent créer leur entreprise

Les conseils du fondateur d’Attractive World aux jeunes qui souhaitent créer leur entreprise

Cofondateur du site de rencontres Attractive World, Ludovic Huraux a créé son entreprise à 24 ans. Voici ses conseils aux jeunes qui souhaitent créer leur entreprise.

Le site de rencontres Attractive Wolrd emploie désormais une vingtaine de personnes et compte 500.000 membres. (Milena Boniek/AltoPress/Maxppp)
Le site de rencontres Attractive Wolrd emploie désormais une vingtaine de personnes et compte 500.000 membres. (Milena Boniek/AltoPress/Maxppp)
Mardi 22 octobre, Geneviève Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur, et Fleur Pellerin, ministre en charge des petites et moyennes entreprises, reconnaissaient qu’il existe en France "un déficit de culture entrepreneuriale" notamment lié "au manque de formation à l’innovation et à l’entreprenariat des jeunes."
Le même jour, les deux ministres annonçaient une série de mesures afin que 20.000 entreprises soient créées ou reprises par des jeunes issus de l’enseignement supérieur d’ici quatre ans.
Pour le cofondateur du site de rencontres Attractive World, qui a créé son entreprise à 24 ans, ces annonces, comme la création de masters mentions "Entrepreneuriat et management de projets" ou "Management de l’innovation", vont "dans le bon sens" même s’il estime que d’autres mesures seraient nécessaires, notamment en ce qui concerne la recherche de financements.
Comment encourager les jeunes à créer une entreprise en France

Ses conseils aux jeunes créateurs d’entreprise

Selon Ludovic Huraux, la France manque de culture entreprenariale, c’est-à-dire par exemple "savoir accepter l’échec pour pouvoir réussir ensuite."
"Attractive World a été conçu sur une somme de petits échecs"

Selon lui, quand on crée son entreprise, il faut absolument "avoir une vraie motivation, une volonté à toute épreuve et être capable de fédérer actionnaires et salariés autour d’un projet commun."
Mais ce n’est pas tout. Il faut aussi "bien s’entourer : on ne peut pas tout faire parfaitement mais on peut s’entourer de personnes qui ont les compétences que vous n’avez pas."
Enfin, dans la vidéo ci-dessous, voici son dernier conseil pour les jeunes créateurs d'entreprise.

Rémi Boulle 
source : http://www.challenges.fr/economie/20131025.CHA6201/les-conseils-du-fondateur-d-attractive-world-aux-jeunes-qui-souhaitent-creer-leur-entreprise.html

lundi 21 octobre 2013

Creer-Mon-Business-Plan.fr : plate-forme gratuite d'aide à la création d'entreprise

Creer-Mon-Business-Plan.fr : plate-forme gratuite d'aide à la création d'entreprise éditée par Limousin Expansion

Limousin Expansion, l'agence régionale de développement économique du Limousin, met gratuitement à la disposition de tous les entrepreneurs une plate-forme d'aide en ligne à la création d'entreprise : Creer-Mon-Business-Plan.fr.

Après s'être inscrit gratuitement, l'utilisateur accède ainsi à 3 outils essentiels à la mise en œuvre de son projet :
- Un outil d'évaluation de projet qui permet au futur créateur de cerner tous les enjeux de la création d'entreprise, de tester le potentiel de réussite de son projet et de mesurer les risques d'échec ou les facteurs clés de succès.

- Un module de rédaction de Business plan comportant des vidéos de formation et des contenus didactiques

- Un logiciel de simulation financière, utilisable sans aucune connaissance comptable et permettant l'établissement des trois principaux tableaux prévisionnels habituellement exigés par les banquiers et autres investisseurs (compte de résultat, prévisionnel de trésorerie et plan de financement).
 
Un espace personnel sécurisé lui permet de conserver les documents réalisés sans limitation de durée mais également de les partager avec des tiers (banque, accompagnateur...).

En complément du modèle de Business Plan gratuit, la plate-forme propose des modèles thématiques modifiables en ligne. Ces documents de qualité professionnelle sont exportables au format pdf. En collant au plus près de la nature du projet, la version thématique permet de gagner un temps précieux.


Pour célébrer son deuxième anniversaire, Creer-Mon-Business-Plan.fr offre aux nouveaux inscrits le modèle de Business plan de leur choix (valeur 49 €). Le 14 octobre 2013, de 10h à 17h, chaque utilisateur pourra ainsi choisir parmi la trentaine de modèles que compte actuellement le catalogue : food truck, spa, services à la personne, institut de beauté, restauration rapide, etc.


A propos de Creer-Mon-Business-Plan.fr :



image limouson expansionCreer-Mon-Business-Plan.fr est édité par Limousin Expansion, spécialiste de la création d’entreprise. Depuis sa mise en ligne en septembre 2011, le site connait un véritable succès et réalise plus de 44 000 évaluations par an.



Plus d'informations : www.creer-mon-business-plan.fr


Contact presse : 

Mathieu Brogniart
Tél : 05 87 21 21 21
Mail : m-brogniart@limousin-expansion.fr

 
source : http://www.espacedatapresse.com/fil_datapresse/consultation_cp.jsp?ant=reseau_2771794

L'entrepreneuriat des seniors en plein boom ?

L'entrepreneuriat des seniors en plein boom ?

Selon une étude de l'Observatoire Alptis de la protection sociale, les plus de 50 ans sont attirés par la création d'entreprise. Principal moteur : la "réalisation de soi".

avec AFP pour LEntreprise.com, publié le 
L'entrepreneuriat des seniors en plein boom?
Selon une étude de l'Alptis, les plus de 50 ans sont motivés par la création d'entreprise, y voyant un moyen de se réaliser.
D.R.
Ils comptent devenir entrepreneur à l'âge où d'autres préparent leur retraite. Les seniors qui créent leur entreprise pourraient être de plus en plus nombreux, souligne une étude réalisée par deux chercheurs, l'économiste Stéphane Rapelli et le sociologue Serge Guérin, pour l'Observatoire Alptis de la protection sociale.
Selon l'Insee, près de 16% des créateurs d'entreprises ont au moins 50 ans. Les quinquas sont motivés par une volonté de "réalisation de soi", selon une étude prévoyant un "essor du senior entrepreneuriat" dans les années qui viennent.

Besoin d'indépendance

Les seniors étaient près de 51% à être privés d'emploi ou inactifs avant de créer leur entreprise. Mais le chômage seul ne peut expliquer ce choix. "Le besoin d'indépendance (prioritaire), la volonté de rester actif, de préserver une vie sociale, d'essaimer une expérience ou d'enrichir une carrière par une ultime expérience sont des facteurs importants", selon l'étude.
"Hier, les seniors entrepreneurs étaient des personnes qui n'avaient pas forcément choisi cette situation", souligne Serge Guérin, citant notamment ceux qui "se retrouvaient dans l'incapacité de vendre ou de transmettre leur entreprise".
"Même si ce type de situation perdure, surtout dans un contexte de crise, la nouveauté est le choix de l'entrepreneuriat pour la réalisation de soi", ajoute-t-il.

Une majorité d'anciens cadres

Il prévoit un "essor du senior entrepreneuriat" dans les années qui viennent, car "beaucoup de seniors sont atteints par une sorte de procès en vieillissement dans l'entreprise" et "le développement d'une activité permet d'améliorer son pouvoir d'achat". Ce sont principalement des hommes, et le manque de diplômes ne semble pas être un frein, l'expérience professionnelle primant.
Il y a une prédominance d'anciens cadres, et ils se distinguent des entrepreneurs plus jeunes par des conditions matérielles plus favorables (emprunts remboursés, plus d'enfant à charge).

22 millions de quinquas

Concernant ceux qui optent pour le statut particulier d'auto-entrepreneur, les plus de 60 ans dégagent un revenu supérieur de 33% à celui des auto-entrepreneurs âgés de 41 à 50 ans.
Les "quinquagénaires et plus" sont 22 millions. En 2030, ils seront près de 30 millions, soit environ 40% de la population française.

En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/avant-de-se-lancer/l-entrepreneuriat-des-seniors-en-plein-boom_43645.html#SekGaqt3V3wxT4Cf.99

source : http://lentreprise.lexpress.fr/avant-de-se-lancer/l-entrepreneuriat-des-seniors-en-plein-boom_43645.html#SekGaqt3V3wxT4Cf.99

mercredi 9 octobre 2013

De cadre sup à entrepreneur : un nouvel incubateur pour les porteurs de projet seniors

9 octobre 2013 | Création
         

De cadre sup à entrepreneur : un nouvel incubateur pour les porteurs de projet seniors

Une session de formation au sien de l'EBA

Installé depuis juin dernier à Paris, l’European Business Accelerator vise principalement d’ex cadres sup ayant un projet de création ou de reprise de start-up.

Avis aux créateurs, l’European Business Accelerator (EBA) cherche de nouveaux projets à accompagner. Un accélérateur de start-up de plus à Paris ? Oui. Sauf que, pour une fois, ne sont pas visés les jeunes créateurs du web en jean et basket mais d’ex cadres supérieurs en costume-cravate. La vocation de cette structure européenne (*) installée depuis cet été au cœur de Paris est d’aider des quadras/quinquas en reconversion à créer ou reprendre une start-up ou même intégrer une entreprise de croissance dans un poste opérationnel.

Echappant au radar de la plupart des incubateurs et autres pépinières d’entreprises existantes, cette cible de « seniors » est pourtant loin d’être négligeable. « A Paris, il existe une population importante de cadres et dirigeants en rupture professionnelle disposant d’un haut niveau de compétences, d’une forte expertise, éventuellement d’un réseau et souvent d’un capital à investir », explique Gilles Bouchard, le dirigeant d’EBA.

Sélection drastique pour formation à la création de haut-vol
Le candidat n’a pas besoin d’arriver avec une entreprise en cours de création, il peut aussi en être au stade de l’idée. Mais ne rentre pas à l’EBA qui veut. Outre la rédaction d’un dossier de candidature classique, il faudra passer trois entretiens dont un dernier devant un comité de sélection pour prouver ses capacités à affronter les incertitudes, à anticiper et à prendre rapidement des décisions, à manager une équipe, notamment. Si le candidat franchit tous ces obstacles, il va pouvoir démarrer le programme. A condition d’avoir quelques économies devant lui. Car le cout est de « 20 000 à 40 000 euros », selon les profils.


Mentoring intensif de 4 mois
Pour ce prix là, le porteur de projet va bénéficier d’un mentoring intensif de quatre mois, dispensé dans les locaux de l’accélérateur parisien ou en ligne. Les experts qui vont le suivre ne sont pas n’importe qui : anciens d’Harvard Business School ou d’autres grandes écoles, ils présentent « une triple expérience grands groupes, start-up et capital investissement ». Mise à niveau des basiques de l’entreprenariat, séances type « retour d’expérience », sessions thématiques (comment piloter l’équipe d’une start-up, comment gérer la trésorerie d’une start-up …) … l’objectif sera de mettre en condition technique et psychologique ces cadres qui veulent entreprendre. « On y joue les sparring partners, comme en boxe, pour faire acquérir à chaque dirigeant les caractéristiques et qualités d’un entrepreneur », précise Gilles Bouchard qui ajoute que l’EBA ne prend pas de participation dans les start-up évitant à celles ci toute dilution de leur capital au départ.
Un vivier de 200 entrepreneurs-investisseurs et de centaines de start-up
Dans le cas de projets innovants sur des marchés en pleine évolution, la méthode EBA consiste à tester et confronter l’idée ou le concept à des clients potentiels dans une permanente remise en question (voir témoignage dans l’encadré). Ce qui va permettre de transformer l’« invention » en un produit commercialisable et limiter ainsi les risques d’échec commercial.

Enfin, l’autre grand intérêt de cet accélérateur est de pouvoir s’appuyer sur un réseau de « 200 entrepreneurs-investisseurs et de centaines de start-up innovantes ». Dans ce vivier international, l’EBA se fait fort de trouver un éventuel partenaire qui pourra rendre le projet encore plus puissant ou ouvrir de nouvelles perspectives. Comme cet ex-cadre dirigeant dont le projet initial était de monter une chaîne de restaurants aux Etats-Unis et qui va peut-être lancer la filiale européenne d’un groupe de restauration américain.
Témoignage
Jean Abboud : « Rentrer rapidement dans une phase opérationnelle ».


Créateur en solo d’une activité high-tech (algorithme dans le domaine du Big Data), Jean Abboud fait partie des premiers créateurs embarqués dans l’EBA. Cet ingénieur polytechnicien de 43 ans, ex-directeur de programme chez SFR, n’a pas trouvé dans les incubateurs classiques l’accompagnement approfondi qu’il désirait. « Ce qui m’a séduit ici, c’est le principe de la double commande. Le mentor va piloter avec vous votre start up comme si c’était la sienne », explique-t-il.
Autre point fort de la méthodologie, selon lui, le projet est immédiatement confronté au marché. « On se rend compte qu’un aspect que l’on croyait majeur intéresse moins le client qu’un autre sujet que l’on avait un peu sous-estimé, par exemple, poursuit Jean Abboud. Cela permet d’avancer sur son projet et de rentrer rapidement dans une phase opérationnelle ». Le créateur est d’ailleurs « sur le point de signer avec deux clients » alors qu’il n’est pas encore sorti de l’incubateur. Le fait de tester l’idée à l’extérieur permet aussi, selon lui, de multiplier les opportunités de partenariat. « Au delà de l’aspect financier, c’est, par exemple, rencontrer une personne dont les compétences complémentaires vont rendre votre projet encore plus attrayant ».


* L’EBA est membre associé de l’European Business & Innovation Centre Network créé en 1984 à l’initiative de la Commission Européenne

Bruno Askenazi

         

source : http://entrepreneur.lesechos.fr/entreprise/creation/actualites/de-cadre-sup-a-entrepreneur-un-nouvel-incubateur-pour-les-porteurs-de-projet-seniors-10033042.php

La Fondation Groupe RATP accompagne la création d'entreprise avec l'Adie


La Fondation Groupe RATP accompagne la création d'entreprise avec l'Adie

Dans le cadre de son engagement avec l'Adie, la Fondation Groupe RATP soutient le projet de 105 auto-entrepreneurs pour favoriser l’insertion professionnelle des jeunes.

La Fondation Groupe RATP s’est engagée auprès de l’Adie dans le cadre de sa mission pour le lien et l’entraide, afin de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes, en Île-de France et, au-delà, sur le territoire français.
Sur la base de ce partenariat, la Fondation Groupe RATP soutient le projet de 105 auto-entrepreneurs sur trois ans, finançant l’accompagnement nécessaire à leur projet : micro-crédit, formation leur permettant de pérenniser leur activité.  
Pour informer les jeunes « futurs entrepreneurs » de cette opportunité, la RATP offre des campagnes d’affichage sur ses réseaux.
Selon Pierre Mongin, Président de la Fondation Groupe RATP, « Face aux difficultés d’emploi des jeunes, dans nombre de zones desservies par la RATP, la Fondation Groupe RATP a souhaité, à travers ce partenariat, prendre l’engagement de donner leur chance à des jeunes qui ne demandent qu’à réussir leur vie. ».

Julie - Adie - octobre 2013Ce partenariat a pris ses racines sur les nouveaux territoires du tramway T1, en lien avec les deux antennes de l’Adie situées à Asnières et à Saint-Denis. Il est amené à se développer en France, à Charleville-Mézières et prochainement à Boulogne-sur-Mer.
Du 7 au 11 octobre 2013, l’Adie (Association pour le droit à l’initiative économique) organise partout en France des rencontres d’information pour les 18-32 ans qui souhaitent créer leur entreprise.
EN SAVOIR PLUS
Rencontres de l'Adie pour les jeunes qui souhaitent créer et développer leur entreprise, du 7 au 11 octobre 2013
Le site de l'Adie : www.adie.org
Le site de la Fondation Groupe RATP : www.fondation-ratp.fr
source : http://www.ratp.fr/fr/ratp/r_97669/la-fondation-groupe-ratp-accompagne-la-creation-d-entreprise-avec-l-adie/

mercredi 2 octobre 2013

Comment éviter les arnaques aux registres frauduleux

Création d'entreprise: Comment éviter les arnaques

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Créé le 30/09/2013 à 18h08 -- Mis à jour le 30/09/2013 à 18h39

ENTREPRENEURIAT - Les bons conseils pour reconnaître les vraies arnaques derrière les faux courriers officiels qui affluent quand on monte sa boîte...

La toute dernière alerte de l’Urssaf est tombée jeudi dernier. Dans un email adressé à l’ensemble de ses cotisants, l’organisme de collecte des charges sociales mettait en garde contre des courriels frauduleux les invitant à se connecter au site «urssaf.fr». Au motif de finaliser un remboursement, ce site, qui présente toute l’apparence du portail officiel, logo compris, demande de livrer informations personnelles et numéro de carte bancaire. En réalité, il s’agit «d’un site frauduleux dont le but est d'obtenir des informations bancaires ou des justificatifs d'identité (carte d'identité, passeport, permis de conduire, carte de séjour...) et de domicile (facture de gaz, d'électricité, de téléphone...)», explique l’Urssaf dans son courriel d’avertissement.
L’an dernier à la même époque, une escroquerie similaire avait été signalée. «On a des remontées régulières de nos cotisants», précise-t-on à l’Acoss, la caisse nationale des Urssaf, qui rappelle que l’organisme «ne demande pas normalement ce type d’informations». Pour éviter de se faire plumer, la meilleure parade reste encore de «saisir manuellement l’adresse http://www.urssaf.fr dans votre navigateur», note l’Acoss. Et d’être toujours prudent.

Registres privés et faux documents officiels

A peine déposés les statuts de sa nouvelle entreprise, le créateur croule en effet sous l’afflux de formulaires d’adhésion toujours payants, apparemment officiels mais en réalité en rien obligatoires. Les plus fréquents sont des demandes d’inscriptions à des «registres» privés qui n’ont rien à voir avec le greffe du tribunal de commerce. Les plus connues émanent notamment de sociétés d’informations sur les entreprises, comme «Info Kbis» et «info-siret».
D’autres sont de vraies escroqueries. Parmi les plus connues, on peut citer la demande d’identification du «Registre TVA intracommunautaire» estampillée d’un drapeau européen, ou encore la demande d’enregistrement au «Registre national intracommunautaire» avec son logo bleu blanc rouge inspiré de la Marianne de la République française.
Un autre courrier récent, particulièrement efficace, portait quant à lui le logo «RSI France» comme le très officiel «Régime social des indépendants» et demandait près de 400 euros pour une adhésion annuelle. Il s’agissait en réalité d’une entreprise basée à Limassol, à Chypre.
Enfin, une dernière mise en garde porte sur le démarchage commercial de certains organismes de retraites complémentaires, de prévoyance ou de mutuelle. qui peuvent avoir tendance à faire passer la souscription de leur contrat pour obligatoire quand elle est en réalité facultative.
*Claire Planchard
 
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