mardi 30 avril 2013

Les seniors se lancent dans la création de micro-entreprises


Les seniors se lancent dans la création de micro-entreprises

LE DIMANCHE 28 AVRIL 2013 À 05:20

C'est une tendance avérée : les seniors tentent l'aventure de la micro entreprise. En retraite ou au chômage, les seniors se penchent sur ce type d'activités salariales accompagnés par des associations comme l'Adie, spécialiste du micro crédit.
L'Atelier de couture d'Isabelle © Radio France - frederique marié
L'Adie est une association reconnue d'utilité publique, elle aide des personnes exclues du marché du travail et du système bancaire classique à créer leur entreprise et donc à créer leur emploi grâce au micro crédit.
Isabelle a subi un licenciement abusif après 20 années passées dans l'industrie pharmaceutique. Elle décide, après un passage à vide, de devenir micro entrepreneure. Cela fait 7 ans qu'elle fait de la couture  dans son atelier/salon de thé du 18e arrondissement de Paris.
A 55 ans, Isabelle voudrait maintenant se spécialiser dans les vêtements pour les motardes, des vêtements en cuir.
Isabelle CHerchevsky micro entrepreneure depuis 7 ans  
 
Lecture
Partager
Il y a aussi l'exemple de Richard, 59 ans, qui, lui, se lance cette année dans la conception de jeux de société, une passion d'enfant. D'ailleurs, il passe le concours Lépine le 30 avril prochain à la Foire de Paris.
Richard Stehr est inventeur de jeux de société, micro entrepreneur soutenu par l'Adie  
 
Lecture
Partager
L'âge ne rentre pas dans l'équation. Si votre projet tient la route et si votre motivation est sans faille, c'est sans doute le moment de vous lancer.
Selon le dernier rapport de l'ACOSS (l'Agence centrale des organismes de Sécurité Sociale, caisse nationale des URSSAF), les affiliations seraient en hausse de 2% malgré la crise.
Les démarches sont simples si vous avez un projet bien ficelé et des conseillers vous suivront jusqu'au bout de votre création de micro entreprise.



Les entrepreneurs en faillite ne seront plus fichés par la BDF


Les entrepreneurs en faillite ne seront plus fichés par la BDF

Partager cette actu
Afin d'offrir « une deuxième chance » aux entrepreneurs qui ont connu l'échec, la ministre de l'Économie numérique Fleur Pellerin annonce la fin de l'indicateur 040, qui leur était alors assigné en cas de faillite.

Fleur Pellerin
Fleur Pellerin, ministre de l'Économie numérique
Fleur Pellerin fait un geste pour les entrepreneurs dont la société a été liquidée. Sur Facebook, et à quelques heures de la clôture des Assises de l'entrepreneuriat, la ministre de l'Économie numérique et des PME annonce « la décision, en accord avec la Banque de France, de supprimer l'indicateur 040 pour lutter contre la stigmatisation de l'échec ».

L'objectif poursuivi par cette décision, écrit la ministre sur le réseau social, est de « soulager » les entrepreneurs qui ont connu ce genre de situation, pour qu'ils puissent « plus facilement rebondir et créer de nouvelles entreprises, de nouveaux emplois ». Environ 150 000 entrepreneurs seraient concernés en France.

Concrètement, il s'agit de supprimer l'indicateur 040 du Fichier bancaire des entreprises (Fiben), géré par la Banque de France. Celui-ci fournit des éléments d'appréciation de la capacité des dirigeants à honorer leurs engagements financiers. « Seuls les établissements de crédit et les administrations à vocation économique ou financière ont accès à l'indicateur dirigeant, de manière sécurisée », explique la BDF sur son site.

L'indicateur va de 000 pour ceux qui n'ont rien à signaler jusqu'à 060 pour les dirigeants qui ont connu trois dépôts de bilan. Entre les deux, on retrouve le 040 pour les entrepreneurs ayant déposé une fois le bilan ces trois dernières années. Selon Fleur Pellerin, qui prône « un droit à la seconde chance », cet indicateur est vécu « par les entrepreneurs comme une sorte de stigmate qui les un empêchait d'avoir accès au crédit ».

« L'échec ne signifie pas qu'on est un mauvais gestionnaire »

La Banque de France précise que cet indicateur est « dénué de tout jugement de valeur sur les capacités de gestionnaire du dirigeant ». La Banque souligne aussi qu'elle « ne porte aucun jugement sur la personne et s'abstient de toute appréciation sur les éléments ayant conduit à l'attribution de l'indicateur ». Or selon la ministre, il est vécu par les entrepreneurs comme un stigmate qui « les empêchait d'avoir accès au crédit ».

« Peut-être qu'un banquier est réticent à accorder un crédit en toute confiance alors qu'une première expérience d'échec pour nous ne signifie pas qu'on n'est pas un bon gestionnaire. Ça peut être qu'on a perdu une grosse commande, qu'on a subi un cycle économique », a ajouté la ministre lors d'un entretien sur RMC.

Cette mesure est annoncée en amont des conclusions des Assises de l'entrepreneuriat, lancée à la mi-janvier, dont la mission était de réunir autour de la même table et pendant quatre mois entrepreneurs, salariés, organisations patronales et syndicales. Et ce, afin de formuler des propositions pour rendre la France plus attractive pour les start-up. Au total, 44 axes de travail seront dévoilés.


À lire également :


La suite sur Clubic.com : Les entrepreneurs en faillite ne seront plus fichés par la BDF http://pro.clubic.com/entrepreneur-et-creation-entreprise/actualite-556600-entrepreneurs-faillite-fiches-bdf.html#ixzz2S8KCTQBg
Informatique et high tech 


source : http://pro.clubic.com/entrepreneur-et-creation-entreprise/actualite-556600-entrepreneurs-faillite-fiches-bdf.html

mercredi 24 avril 2013

Création d'entreprise, l'implacable test des 10 ans


24 avril 2013 | Création
         

Enquête : Création d'entreprise, l'implacable test des 10 ans

Elles étaient près de 300.000 à avoir vu le jour il y a dix ans. Elles sont moins de 50.000 à avoir survécu aux embûches, économiques, financières, fiscales ou réglementaires semées sur la route. Parmi elles, trois championnes, Babilou, Acensi, Solutions 30. La première a remporté le trophée de la décennie remis hier par Bain, « Les Echos », Radio Classique et CroissancePlus.


Crédits photo : SIPA
Le groupe Babilou, fondé par Rodolphe et Edouard Carle, a remporté le trophée 2013

Avant d'être des gagnantes, ce sont d'abord des survivantes. Babilou, Acensi, Solutions 30, les trois sociétés finalistes du Trophée de la décennie 2013 - organisé par Bain & Company, cabinet de conseil en stratégie, en partenariat avec « Les Echos » et CroissancePlus, association qui soutient l'esprit d'entreprise - ont comme point commun d'avoir été créées en 2003, au côté de 293.568 autres. Point de départ d'une redoutable course d'obstacles, semée d'embûches mortelles même quand les temps sont normaux, mais rendue cette fois-ci encore plus périlleuse par la traversée de la plus grave crise financière et économique que le monde industrialisé ait connue depuis celle des années 1930.
Dix ans après, il ne reste plus que 48.388 rescapées de l'aventure, parmi lesquelles nos trois championnes. Pour figurer dans le trio des prétendantes au prix, il faut bien sûr avoir survécu au test des dix ans, puisque c'est le principe même de cette récompense imaginée en 1995 par le bureau parisien de Bain pour fêter son propre anniversaire décennal, mais aussi avoir franchi la barre des 15 millions de chiffre d'affaires. Le montant reste assez modeste, pourtant seulement 467 des « nouveau- nées » de 2003 y sont parvenues. « Une création sur mille qui passe le cap des 15 millions de chiffre d'affaires dans les dix ans, c'est le symptôme le plus évident de tous les freins à la croissance existant en France », constate Olivier Duha, le président de CroissancePlus. Passées au tamis du triple critère de la plus forte croissance, de la meilleure rentabilité et du niveau de trésorerie le plus élevé, puis soumises à une batterie de questions par un groupe d'experts, huit nominées, dont nos trois finalistes, ont fini par émerger du lot.

Crédits photo : 

Les services, un secteur porteur

Dans le club des huit figures, une seule vraie entreprise de haute technologie, Magellium, 170 salariés, un peu plus de 16 millions de chiffre d'affaires, spécialisée dans le traitement des images pour des groupes de la défense, comme EADS, le CNES ou la Direction générale de l'armement. On relève aussi quelques acteurs de niche qui ont trouvé leur place au soleil grâce au négoce : Terranea, astucieusement positionné sur la commercialisation auprès de la grande distribution de côtes-du-rhône mis en bouteille à la propriété ; Autoreserve, spécialisé dans la distribution de pièces de rechange automobiles ; et Domotelec, leader de la vente par Internet de produits de chauffage. Cas isolé, car seul réel fabricant de la liste, Aurlane, fournisseur de cabines de douche auprès des distributeurs de Do it yourself (Leroy Merlin, Castorama, Bricorama...) tient à lui seul le quart de ce marché en plein essor. Bien qu'elles aient accédé au petit peloton de tête, aucune des cinq ne dégage une marge brute à deux chiffres.
Une performance à laquelle sont en revanche parvenues les trois entreprises portées sur le podium par le jury du Trophée. Là encore toutes se situent dans l'univers des services, comme s'il était devenu presqueimpossible de grandir sur notre « terreau » industriel. Acensi, fondé par deux anciens de cabinets conseil en système d'information, a misé sur le fait que ce marché restait modérément concentré, les premiers fournisseurs n'en captant que 60 %. Il s'est spécialisé au départ dans les télécoms et les salles de marchés, deux créneaux où, à l'époque, les vents étaient très porteurs.

Solutions 30, l'autre sélectionnée pour le sprint final, propose des services d'assistance informatique sur site, à domicile ou en milieu professionnel, avec la promesse de résoudre le problème, comme son nom l'indique, en 30 minutes. Cette belle société a su attraper la vague de l'Internet à haut débit au moment où celui-ci partait à l'assaut du grand public. Son premier contrat majeur fut Alice, puis d'autres opérateurs, avant d'élargir son champ d'intervention à l'énergie, la monétique, la sécurité ou à peu près tous les appareils composant le parc multimédia. Aujourd'hui, après plusieurs rachats en Europe, son capital est détenu à 80 % par six fonds d'investissement..


Le lauréat 2013 ? Babilou, leader sur le secteur des crèches privées

Le choix du jury pour le Trophée 2013, quasi unanime, s'est porté sur une troisième nominée, le groupe Babilou, lui aussi leader dans un domaine confronté à d'énormes besoins : la crèche privée pour entreprises ou municipalités. La France compte environ 1,2 million de places de garde, dont un tiers seulement en crèche, pour 2,2 millions d'enfants de moins de trois ans. « Je m'occupais de fonds d'investissement en Angleterre qui s'intéressaient aux crèches quand nous avons pris la décision, avec mon frère, de se lancer dans cette activité, raconte Rodolphe Carle, cofondateur de Babilou avec Edouard Carle, son cadet. Le besoin est gigantesque dans toute l'Europe. »
En France, les deux jeunes hommes, alors âgés de vingt-six et vingt-quatre ans, ont su profiter d'un tournant dans la politique des pouvoirs publics qui s'est matérialisé lors de la conférence de la famille de 2003. En sont sorties plusieurs mesures comme un crédit d'impôt pour les entreprises qui offrent des solutions de garde à leurs salariés et, surtout, la mise sur un pied d'égalité des crèches privées et des gardes publiques pour l'accès aux aides des Caisses d'allocations familiales. Les unes comme les autres reçoivent les mêmes subventions à condition que les tarifs proposés aux familles, en proportion de leurs revenus, soient eux aussi identiques. Tout en privilégiant la qualité de service, à laquelle les parents sont, on s'en doute, extrêmement sensibles, Babilou s'est fort bien accommodé de ces conditions, et pour cause : si une place de crèche revient à environ 23.000 euros dans le public, les siennes tournent avec 17.000 euros, rapporte la consultante de Bain responsable de l'étude, Alix de L'Hermitte.

Une loterie impitoyable

Mais le vrai décollage du groupe se produit en 2008, grâce à un système innovant de réservation« Nous avons privilégié la proximité entre la place en crèche et le domicile des salariés, car on ne va pas au travail avec son enfant, explique Rodolphe Carle. En créant le réseau "1001 crèches" de réservation en ligne, associé à de grandes entreprises, où les places s'échangent en fonction des besoins géographiques. » Leader du marché, l'entreprise des frères Carle a réalisé un chiffre d'affaires de 130 millions en 2012, avec une rentabilité de 14 % et a créé près de 3.000 emplois.

Crédits photo : 
Si l'on considère la liste des 30 finalistes des précédents Trophées, remis chaque année entre 1995 et 2004, avant la longue interruption qui a précédé cette édition 2013, on voit que, même pour les meilleures, la vie d'entrepreneur n'a rien du long fleuve tranquille. Certes, les trente représentent aujourd'hui 11,5 milliards de chiffre d'affaires et emploient 90.000 salariés. Si seulement deux d'entre elles ont disparu, quinze ont été rachetées, à l'instar de Business Objects, couronné en 2000 et vendu 4,8 milliards à l'allemand SAP en 2008. Il reste douze belles histoires d'entreprises toujours indépendantes, créatrices d'emploi et de valeur, dont une, Gemalto, leader mondial de la sécurité numérique, appartient depuis quatre mois au cercle huppé du Cac 40. Un gros lot sur plus de deux millions de créateurs partis sabre au clair au cours des dix années couvertes par le prix, c'est une loterie impitoyable.

Crédits photo : 

Les points à retenir

Un créateur sur mille passe le cap des 15 millions de chiffre d'affaires dans les dix ans.
Dans le club des huit nominés choisis par le comité d'experts du Trophée, figure une seule vraie entreprise de haute technologie, Magellium.
Le groupe Babilou, vainqueur du prix 2013, a créé en dix ans près de 3.000 emplois et affiche une rentabilité à deux chiffres.
Sur les 30 finalistes des précédents prix, une entrée au Cac 40 : Gemalto.
Henri Gibier

         



source : http://entrepreneur.lesechos.fr/entreprise/creation/actualites/0202724550200-enquete-creation-d-entreprise-l-implacable-test-des-10-ans-10028604.php

L'incubateur Descartes lance un concours de création d'entreprises innovantes


L'incubateur Descartes lance un concours de création d'entreprises innovantes

Céline VALENSI - publié le 24 avril 2013 - Entreprise
L'incubateur Descartes lance un concours de création d'entreprises innovantes
© Descartes

Le réseau entreprendre Sud Île-de-France soutient, pour sa 2ème édition, le concours de création d'entreprises innovantes de l'Incubateur Descartes.
Ce concours a pour objectif de faire émerger des projets de création d'entreprises innovantes autour de trois thématiques : la ville durable, l’innovation sociale, les technologies pour la santé et l'autonomie sur le lieu de vie.
L’événement est ouvert aux porteurs de projets et personnes physiques qui envisagent de créer une start-up ainsi qu’aux entreprises créées depuis moins de 12 mois,
Les meilleurs projets se verront offrir un accompagnement en incubation pour les aider dans le développement de leur entreprise, ainsi qu'une dotation financière à partager d'une valeur totale de 50 000 euros.
Les dossiers de candidatures sont disponibles sur simple demande à cette adresse : concours@incubateur-descartes.com

Pour plus d'informations : http://incubateur-descartes.com


Pour en savoir plus : http://www.affiches-parisiennes.com/l-incubateur-descartes-lance-un-concours-de-creation-d-entreprises-innovantes-1897.html#ixzz2RNn9tWcg
Pour suivre Les Affiches Parisiennes : @Annonce_Legales sur Twitter | AffichesParisiennes sur Facebook


source : http://www.affiches-parisiennes.com/l-incubateur-descartes-lance-un-concours-de-creation-d-entreprises-innovantes-1897.html

ENTREPRENDRE : UNE HISTOIRE HUMAINE SELON LE PAPE DE LA CRÉATION D’ENTREPRISE, ROBERT PAPIN


Le blog du Salon des micro-entreprises

ENTREPRENDRE : UNE HISTOIRE HUMAINE SELON LE PAPE DE LA CRÉATION D’ENTREPRISE, ROBERT PAPIN.

Viadeo
Depuis plusieurs années, la création d’entreprise est une initiative qui séduit de plus en plus de Français. Qu’il s’agisse de donner vie à un concept novateur, d’amorcer une reconversion professionnelle ou encore de créer son propre emploi à la suite d’un licenciement, les profils d’entrepreneurs sont variés. Néanmoins, au-delà de cette diversité, un critère dominant se dessine: le savoir-faire.
En effet, quelle que soit la nature de la démarche entrepreneuriale, tout le monde s’accorde à dire qu’il s’agit d’une initiative complexe et difficile, qui exige des compétences bien spécifiques.
En d’autres termes, il ne suffit pas d’avoir une idée et quelques sous de côté pour réussir sa création, il faut également être rompu aux méthodes et aux savoir-faire de l’entrepreneuriat.
Il existe aujourd’hui de nombreux services de formation et de coaching pour accompagner les créateurs ou futurs créateurs d’entreprises et les initier aux techniques de gestion et de management qu’un entrepreneur doit maîtriser.
Cette exigence théorique est également renforcée par l’avènement du marketing digital qui requiert des compétences toujours plus pointues.
Pourtant, alors que cette vision techniciste semble s’imposer dans la sphèreentrepreneuriale, un vétéran de la création d’entreprise propose une autre approche.
Robert Papin, Fondateur de HEC entrepreneurs, rappelle ainsi l’importance de la dimension humaine de cette démarche.
A l’occasion d’une interview donnée lors du Salon des micro-entreprises 2012, il livre 2 conseils aux entrepreneurs.
Le premier consiste à partager, avec son conjoint par exemple, ses peines mais aussi ses joies.
Cet échange humain, ce dialogue a une importance toute particulière pour Robert Papin, dès lors qu’il peut permettre à un entrepreneur de faire le point et de mieux se connaitre lui-même, de percevoir « ce qui le rendrait heureux dans la vie ».
Le second conseil concerne la manière dont vous allez vous entourer. Robert Papinexplique en effet qu’il est déterminant pour un entrepreneur de s’entourer « d’hommes et de femmes qui ont du cœur, du courage et qui ne sont pas de simples exécutants», sous peine de devoir affronter de nombreuses difficultés au quotidien nous dit-il.
Dans un second temps, Robert Papin tient un discours plus formel et invite lesentrepreneurs à se tourner vers l’avenir. Il affirme que la réussite d’une démarcheentrepreneuriale repose sur quelques critères simples : vos qualités de stratège, votre capacité à rester ouvert sur votre environnement, l’art de mobiliser vos collaborateurs et enfin la maîtrise de quelques outils indispensables de gestion financière.
Pour en savoir plus, découvrez l’intégralité de l’interview de Robert Papin au Salon des micro-entreprises 2012 :
  • facebook
  • google_buzz
  • linkedin
  • twitter
  • rss
  • bookmark
  • email
































































source : http://www.salonmicroentreprises.com/blog/entreprendre-pape-creation-entreprise-robert-papin.html