J. Cerezo (A4Traduction) : « La franchise permet de partager des expériences tout en demeurant seul décideur »
A 53 ans, Jacques Cerezo est un homme heureux. Installé depuis début avril en tant que franchisé A4Traduction près de Rouen, en Normandie, il apprécie d’être seul maître à bord, tout en travaillant en équipe.
Construction du projet
CE QUI VOUS A MOTIVÉ À DEVENIR CRÉATEUR D’ENTREPRISE ?
Le fil rouge de mes 28 années d’expérience professionnelle est constitué par le service aux entreprises. Mon objectif a toujours été de permettre à mes clients de développer et de pérenniser leur activité. Le secteur de l’agro-distribution m’a d’abord amené à mettre en œuvre des compétences techniques et commerciales, grâce à un suivi parfois quotidien de mes clients. Dans un second temps, j’ai accompagné des entreprises en création et en développement dans leurs processus de financement et de gestion, pour un réseau bancaire national.
Mais en tant que salarié, j’ai souvent été frustré de ne pas pouvoir influer suffisamment sur les orientations stratégiques et opérationnelles de mon activité. J’ai constaté, notamment, que la qualité du service et la volonté de mettre le client au centre de la relation s’avèrent plus souvent être des mots qu’une réalité. C’est pourquoi j’ai éprouvé la volonté de devenir seul maître à bord pour la conduite d’un cycle de production. Mon projet s’est appuyé sur un Master en économie d’entreprise. De surcroît, la position d’observateur privilégié que j’occupais alors en tant que chargé de financement bancaire m’a permis de cibler mes recherches, en analysant les marchés de la reprise d’entreprise, et de la création d’activité en franchise.
Mais en tant que salarié, j’ai souvent été frustré de ne pas pouvoir influer suffisamment sur les orientations stratégiques et opérationnelles de mon activité. J’ai constaté, notamment, que la qualité du service et la volonté de mettre le client au centre de la relation s’avèrent plus souvent être des mots qu’une réalité. C’est pourquoi j’ai éprouvé la volonté de devenir seul maître à bord pour la conduite d’un cycle de production. Mon projet s’est appuyé sur un Master en économie d’entreprise. De surcroît, la position d’observateur privilégié que j’occupais alors en tant que chargé de financement bancaire m’a permis de cibler mes recherches, en analysant les marchés de la reprise d’entreprise, et de la création d’activité en franchise.
POURQUOI AVOIR CRÉÉ EN FRANCHISE ?
Le secteur de la traduction et de l’interprétariat, atomisé et peu médiatisé, mais particulièrement stable, m’intéressait. Ne trouvant pas d’opportunité de reprise dans ce domaine, j’ai opté pour une création en franchise, car ce fonctionnement me permettait de partager des expériences à travers une relation d’équipe, tout en demeurant indépendant et seul décideur.
Le franchisé, qui connaît bien l’environnement économique de la zone géographique qui lui est confiée, peut également faire bénéficier la marque de son relationnel et de ses implications personnelles diverses. C’est mon cas en ce qui concerne la Normandie.
Le franchisé, qui connaît bien l’environnement économique de la zone géographique qui lui est confiée, peut également faire bénéficier la marque de son relationnel et de ses implications personnelles diverses. C’est mon cas en ce qui concerne la Normandie.
Choix de l’enseigne
CE QUI VOUS A SÉDUIT CHEZ LE FRANCHISEUR ?
J’ai été séduit par la volonté du fondateur, Hugues Mantoux, de créer une relation plus large que la simple communication d’affaire. La relation de collaboration qu’il propose est exigeante en qualité, à l’instar du processus de production d’A4Traduction. Son objectif n’est pas seulement de reproduire un modèle économique éprouvé, mais de le faire vivre avec l’apport de ses franchisés. J’ai également été impressionné par la qualité du travail déjà effectué depuis 9 ans, attestée par la capacité de l’enseigne à répondre à toutes les demandes du marché, dans toutes les langues et sur tous les supports. Cette structuration d’une offre de traduction historiquement très atomisée m’a semblée particulièrement convaincante. Enfin, je suis heureux de compter parmi les premiers franchisés d’A4Traduction, et de remplir, aux côtés d’Hugues, une mission de pionnier.
COMMENT AVEZ-VOUS CONVAINCU LE FRANCHISEUR ?
L’expression de mon projet, avec ses exigences, devait manifestement contenir à la fois les mots et l’état d’esprit qu’Hugues Mantoux attendait de la part d’un candidat à la franchise. Je pense que la description de mes attentes en matière de relation client et de qualité du service, ainsi que le rapport qui s’est instauré entre nous, ont été des éléments déterminants.
Quotidien du franchisé
EN QUOI LE SAVOIR-FAIRE DE L’ENSEIGNE VOUS AIDE-T-IL AU QUOTIDIEN ?
L’expérience acquise par mon franchiseur durant neuf années d’activité m’aide beaucoup.
Les échanges avec Hugues sont journaliers et portent sur la construction de l’offre client, en gardant la qualité comme seul objectif. Nous dialoguons notamment à propos de la lisibilité du site Internet, de l’analyse précise de la demande, de la recherche des traducteurs, des pistes de développement de la franchise. Nous ouvrons une boite à idées permanente.
Les échanges avec Hugues sont journaliers et portent sur la construction de l’offre client, en gardant la qualité comme seul objectif. Nous dialoguons notamment à propos de la lisibilité du site Internet, de l’analyse précise de la demande, de la recherche des traducteurs, des pistes de développement de la franchise. Nous ouvrons une boite à idées permanente.
BÉNÉFICES ET CONTRAINTES DE VOTRE NOUVELLE VIE DE FRANCHISÉ ?
J’ai eu maintes fois l’occasion de me projeter dans la création d’entreprise, au travers des accompagnements de projets réalisés au cours de ma carrière professionnelle. Je connais donc bien les processus qui sous-tendent l’entrepreneuriat. Aujourd’hui, je vis avec bonheur le quotidien du créateur : la première décision du matin est la mienne, et toutes celles qui s’enchainent ensuite le sont aussi ! Il faut cependant maitriser son enthousiasme afin de ne pas travailler plus de 15 heures par jour. Lorsqu’on est son propre patron, il est essentiel de savoir s’organiser.